Participer à l'innovation et à la recherche sur la santé tout en s'amusant.
Guillaume Bouvy
Vendredi soir, la première édition du Hacking Health a réuni près de 150 participants sur le campus de l’Ecole Normale Supérieure (ENS) de Lyon.
Organisé à l’initiative de la Métropole de Lyon, la Fondation pour l’Université de Lyon, le cluster I-Care, le Tuba et le Centre Jacques Cartier, cet événement initialement canadien vise à « faire émerger des solutions concrètes et innovantes en associant les compétences de chacun », le tout en 48 heures.
Les profils étaient très variés, selon le principe des hackathons : étudiants, médecins, professionnels de la santé, développeurs, designers, commerciaux … « La formule de l’hackhaton vise à décloisonner les acteurs, pas seulement dans le domaine de l’économie, mais sous toutes les dimensions de la santé, du citoyen, du patient et du personnel soignant. Les pistes d’innovation qui y seront développées seront tout autant de matière pour innover au niveau local, pour signifier que l’écosystème est là », a souligné Karine Dognin-Sauze, vice-présidente de la Métropole en charge de l’innovation et du développement numérique.
Des solutions au service des patients et des soignants
Malgré une ambiance plutôt festive, tous ont pu mettre à profit l'esprit collaboratif, après des pitchs rigoureux, présentés en 2 minutes. Cinq projets innovants ont été primés dimanche soir :