Au siège de Still Rhône-Alpes Auvergne, à Mions, le directeur régional Marc Billaud, aux manettes du RX-20, avec une partie de son équipe, préparent le dixième anniversaire de la présence de l'enseigne dans la Région.
JFB
A l'occasion du dixième anniversaire de sa présence en Rhône-Alpes-Auvergne (Still avait été précurseur du rapprochement des deux régions), le spécialiste de l'intralogistique fait le point sur son activité, espérant gaganer encore des parts de marché grâce notamment à une nouvelle gamme de chariots.
Avec un chiffre d'affaires proche des 40 millions d'euros, en 2017, soit une progression de 18 % par rapport à l'année précédente, la délégation régionale de Sill fait mieux que la performance nationale (avec 292 millions d'euros, celle-ci a tout de même progressé de 10 % sur cette période). Ce qui fait que Rhône-Alpes-Auvergne pointe désormais à la deuxième place des délégations régionales de Still, derrière le Nord de la France, mais devant l'Ile-de-France. « Sur notre région, nous disposons d'un portefeuille de 2.000 clients, dont 20 % assurent 80 % de notre chiffre d'affaires », résume Marc Billaud, directeur régional.
77.000 chariots élévateurs vendus ou loués en 2017
L'activité touche l'ensemble des secteurs économiques avec, en tête, la grande distribution, les entreprises de transport-logistique, l'industrie... « Avec 77.000 chariots élévateurs vendus ou loués, au niveau national, l'année 2017 est devenue un exercice de référence », reconnaît Marc Billaud qui compte cependant sur la dernière gamme du RX-20 pour faire encore mieux dans l'avenir et conquérir de nouveaux marchés. « Par rapport au matériel traditionnel, cette dernière version offre des performances accrues, un meilleur confort de travail et une batterie au lithium-ion, à l'autonomie sensiblement augmentée », se réjouit-il.
Still vise 12 % de part de marché en Rhône-Alpes Auvergne
Si la part de marché de Still en France se situe à 11,2 %, elle est de 11,6 % en Rhône-Alpes-Auvergne. La délégation régionale envisage un chiffre d'affaires de 44 millions d'euros, pour cette année, ce qui devrait permettre à sa part de marché d'atteindre les 12 %, c'est-à-dire juste derrière les mastodontes du secteur : Fenwick, Junghenrich et Toyota.