Pour Eric Roux énonce, « la culture, c’est de l’économie mais une économie sans culture c’est comme une truite fario sans points rouges. »
De l’agriculture au cinéma, en passant par les musiques traditionnelles et la chronique culinaire, le parcours du nouveau président de l’association Sauve qui peut le court métrage, organisatrice du festival de Clermont-Ferrand (22 pers.), « peut sembler bizarre mais il est maîtrisé ».
Pour le démontrer, Eric Roux cite le père de l’anthropologie française, Marcel Mauss : « La cuisine est un fait social total. » Pour Eric Roux, elle est aussi une forme de la culture populaire. Dans ses chroniques, il met en avant la créativité des recettes et menus familiaux. A l’antenne de Canal+, il a souvent associé la cuisine au roman noir. Alors, c’est tout naturellement qu’il trouve des points communs...