Valentin Monteiro, membre du programme de lancement, Denis Coupé, vice président en charge de l’activité Disjoncteur, Fabien Mastro, responsable du lancement, Lucas Pellegrin, responsable de la mise en marché des produits, Franck Marthouret, responsable du renouvellement de l’offre Masterpact en France.
V.R.
Le Masterpact MTZ de Schneider Electric arrive sur le marché de l’industrie et du tertiaire bourré d’électronique et d’informatique. Communiquant et évolutif, il marque une rupture dans l’histoire du disjoncteur basse tension.
Les équipes de l’Electropole Schneider Electric à Eybens ne cachent pas leur fierté d’avoir mis sur le marché le dernier modèle de la gamme historique des disjoncteurs lancée en 1987 avec le Masterpact M. Plus de trois millions de ces modèles sont en activité dans le monde faisant de la société le leader sur ce segment d’équipement de sécurisation des réseaux électriques professionnels. Les premiers Masterpact MTZ géreront des énergies considérables dans une amplitude d’intensité allant de 800 à 6.300 ampères.
Un objet désormais communicant
Aussi compacts que ces prédécesseurs, ils proposent en plus l’intégration de la centrale de mesure jusque-là indépendante du disjoncteur. Mais l’essentiel est sans doute dans la digitalisation du disjoncteur qui en fait un objet communiquant en mode lecture et écriture. Le client industriel, le gestionnaire d’hôpital ou l’artisan, pourra, à partir de son smartphone, recueillir les données techniques du disjoncteur et bien sûr réenclencher celui-ci en cas d’ouverture du circuit électrique.
Nouvelle génération de capteurs
Schneider a insisté sur la partie maintenance préventive avec une nouvelle génération de capteurs destinés à enregistrer toutes les données permettant l’analyse, après une coupure, des causes du dysfonctionnement. Au-delà, il ne s’agit plus seulement de vendre un système électromécanique mais de proposer, en téléchargement direct, différentes fonctionnalités. Et c’est tout le business model qui change.