L’impact carbone des masques de LHS est dix fois moindre que celui des masques importés. Les livraisons sont faites en cartons de réemploi et des start-up se chargeront de récupérer les masques usagés pour les recycler.
« Je suis déterminé à réussir le pari de la relocalisation de la fabrication de masques jetables en France », affirme Téo Toriani, fondateur de LHS à Clermont-Ferrand, qui souligne : « Notre coût de fabrication est très proche de celui des masques asiatiques et nous assurons une qualité constante. »
Avec le soutien d’un « groupe disposant d’une forte puissance financière », LHS, que Téo Toriani a créée en début d’année, a investi dans des machines « ultramodernes, performantes et fiables ». Formé chez un constructeur automobile à l’organisation industrielle, la...