Après Paris en 2011, l’application smartphone de commande de voiture avec chauffeur Uber s’implante à Lyon. Depuis mercredi, 30 berlines haut de gamme circulent dans le centre-ville à disposition des premiers usagers. A terme, le potentiel pourrait atteindre 150 véhicules. Avec un taux de couverture des taxis quatre fois plus bas à Lyon qu’à Paris, Simon Breakwell, directeur Europe d’Uber, estime que la préfecture du Rhône fait figure de marché idéal pour le développement de l’application.
Deux fois plus cher qu’un taxi
La société, qui cible une clientèle d’affaire et de loisir, affiche des prix en moyenne deux fois plus élevés que les taxis traditionnels. S’ils voient l’arrivée ce service d’un mauvais œil, les taxis ne s’y opposent pas frontalement et dirigent principalement leurs attaques sur les services de transports illégaux. En France, Uber s’intéresse à Marseille, Bordeaux et à la Côte d’Azur.
Pour en savoir plus sur Uber