Crédit Agricole Centre France qui compte parmi ses clients 30.000 jeunes de moins de 25 ans à qui elle va proposer le service Job +.
Avec le bouquet de services Job+ élaboré par le grenoblois Wizbii, le Crédit Agricole Centre France veut aider ses jeunes clients à démarrer leur vie professionnelle dans de bonnes conditions.
Le Crédit Agricole Centre France et l’entreprise grenobloise Wizbii, dont la plateforme Internet est « spécialisée dans l’entrée des jeunes dans la vie active », viennent de signer un partenariat pour la diffusion par la banque d’un bouquet de « services utiles au lancement de la carrière des jeunes », Job+.
30.000 jeunes clients
Depuis le début de l’année 2018, quelques caisses régionales du Crédit Agricole diffusent déjà Job+ dans leur réseau, à l’intention de leurs jeunes clients et des enfants de leurs clients. « Nous ne pouvons pas ignorer que la recherche d’emploi est la préoccupation principale des jeunes. Nous avons cherché un partenaire avec lequel conjuguer nos forces. Nous avons la connaissance d’un territoire et de ses forces actives ; Wizbii connaît le marché de l’emploi », explique Jean-Christophe Kiren, directeur général du Crédit Agricole Centre France qui compte parmi ses clients 30.000 jeunes de moins de 25 ans (dont 80 % sont étudiants à Clermont-Ferrand).
Coup de main
C’est à eux qu’est destiné Job+, bouquet de six services : coaching de carrière, cours en ligne, préparation aux certifications de langues, conseils carrière, cocktails recrutement et accès aux offres d’emploi de Wizbii. « Ce sont des services simples et utiles. Au prix du marché, ils représentent un coût total de 80 à 100 € par mois », indique Benjamin Ducousso, président et cofondateur de Wizbii.
Pendant un an, le Crédit Agricole Centre France offrira Job+ à ses clients. Puis, il sera associé à une offre bancaire et une participation leur sera demandée. « Nous souhaitons nouer avec nos jeunes clients une relation sur la durée en tablant sur leur reconnaissance pour ce coup de main que nous leur donnons à un moment fort de leur vie », poursuit Jean-Christophe Kiren.