Mini World Lyon, implanté au Carré de Soie, achève sa première année d'exploitation avec 200.000 visiteurs.
JFB
En dépit d'une ouverture retardée pour de multiples raisons, Mini World Lyon boucle sa première année d'exploitation avec plus de 200.000 visiteurs. Un nouveau « monde » est en gestation et des perspectives de développement sont dans les tirroirs.
Le plus grand parc de miniatures animées de France, présidé par Richard Richarté et installé au Carré de Soie (Vaulx-en-Velin), peut se montrer satisfait de son premier exercice. A la fin du premier semestre 2017, son chiffre d'affaires annuel aura dépassé les 2,5 millions d'euros. La clientèle arrive pour 70 % d'entre elle de la métropole lyonnaise et le reste de la France (27 %) et de l'international (3 %), pour un ticket moyen d'entrée s'élevant à 9,50 euros. Mais à celà, il convient d'ajouter, les recettes provenant du restaurant, de la boutique...
Un nouveau « monde » dédié à Lyon
Un parcours qui a poussé Mini World Lyon à engager la construction d'un nouveau « monde ». Après la ville, la montagne et la campagne, ce quatrième espace sera dédié à la Ville de Lyon, et ses nombreux bâtiments emblématiques : l'Opéra, l'Hôtel de Ville, la Basilique de Fourvière, la Fresque des Lyonnais... Un investissement d'un million d'euros pour presque deux ans de travaux et qui devrait voir le jour à la rentrée 2018.
L'idée est évidemment d'augmenter l'attractivité de ce site avec, pour perspective de fréquentation annuelle, quelque 240.000 visiteurs pour la deuxième année et 300.000 pour l'année suivante.
Vers une duplication du modèle Mini World
Au-delà, le concept semble attirer les convoitises d'autres intervenants dans ce genre de parc de loisirs thématiques. La société Mini World indique être en discussion pour la déclinaison de son concept dans l'avenir. Trois ou quatre dossiers seraient à l'étude, en France, deux à l'international, dont un hors d'Europe.