La French Tech in the Alps siège au Totem de Grenoble.
French Tech in the Alps
Labellisée French Tech en 2014 sous la houlette de Jean-Pierre Verjus, ce qui est devenu, après la création de la SCIC (Société Coopérative d’Intérêt Collectif) Digital Grenoble qui la porte, la French Tech in the Alps-Grenoble, a fait l’objet d’une étude d’impact sur son territoire d’influence.
Avec les autres pôles d’Annecy, de Chambéry et de Valence-Romans, French Tech in the Alps-Grenoble a imprimé une dynamique désormais incontournable sur tout le Sillon alpin. Sous l’impulsion de Romain Gentil (président) et d’Émilie Rondet (déléguée générale), l'entité a publié un premier bilan d’action destiné à dépasser une approche uniquement comptable et financière. « Il vise à présenter et analyser les résultats concrets et objectifs des différents programmes et projets opérés. Il met également en avant leurs retombées économiques, sociales et sociétales. »
Promouvoir un numérique soutenable
Depuis son camp de base grenoblois Le Totem, la structure a développé et soutenu un ensemble d’actions et de services en lien avec des enjeux sociétaux majeurs. On retrouve ainsi la question du retour à l’emploi au travers de cycles de formation du Campus Numérique in the Alps, le maintien sur le grand bassin grenoblois d’entreprises locales « pérennes et participatives » avec le fonds responsable CoopVenture, la dynamique de mise en relation des porteurs de solutions innovantes et des gestionnaires de territoires via Territoires Solutions, ou encore la promotion du numérique engagé au travers du Festival Transfo et de sa myriade d’événements.
Plus encore, le pôle grenoblois de l’alliance French Tech in the Alps (l’une des treize French Tech en France) ouvre aux entrepreneurs la porte d’outils de conseils, d’accompagnement, d’incubation et de financement à l’échelle nationale avec, par exemple, le programme French Tech Tremplin, le fonds French Tech Seed, ou encore la French Tech Rise.
« L’ambition est d’être identifié, dès 2022, comme une ressource phare par 100 % des start-up de notre territoire », soulignent les porteurs du bilan d’impact. Avec, en toile de fond, la volonté de soutenir désormais un secteur numérique inclusif, coopératif et soutenable.
Cet article a été publié dans le numéro 2506 de Bref Eco.