Le 30e Sommet de l'élevage espère attirer 100.000 visiteurs, soit autant que lors de la précédente édition de 2019.
Que de chemin parcouru ! Cette année, le Sommet de l’élevage de Cournon-d’Auvergne fête ses 30 ans et une nouvelle étape dans sa fulgurante ascension.
2.000 animaux, 1.516 exposants venus du monde entier, 100.000 visiteurs lors de la dernière édition en 2019… En trois décennies, le Sommet de l’élevage est devenu le rendez-vous incontournable de l’élevage herbager du Massif central. La cession 2021 devrait être à marquer d’une pierre blanche avec le passage du Sommet de trois à quatre jours (5, 6, 7 et 8 octobre). Sans oublier l’extension du site de la Grande Halle d’Auvergne à Cournon, qui compte désormais 10.000 m² d’espace d’exposition supplémentaires.
« Avec 78.000 m² de surface de stands commercialisés, 1 516 exposants, 2.000 animaux d’élite de 68 races différentes et un centre de conférences au complet avec 69 colloques et conférences programmés, nous ne pouvons qu’être confiants pour cette 30e édition », se réjouit précise Jacques Chazalet, président du Sommet.
322 exposants étrangers
Année après année, le Sommet de l’élevage s’est imposé sur la scène internationale des plus grands salons dédiés aux productions animales. Il est devenu un lieu de business incontournable pour les agriculteurs, les start-uppers qui innovent dans ce domaine, les acheteurs venus des quatre coins de la planète en quête de génétique de pointe. « Malgré un contexte sanitaire encore délicat, cette nouvelle édition accueillera 322 sociétés étrangères originaires de 32 pays, soit 21 % du nombre total d’exposants. Cela représente la même proportion qu’en 2019. Qui l’eut cru ? », se félicite Benoît Delaloy, responsable international du sommet.
Côté visiteurs, les organisateurs espèrent au moins égaler le chiffre de 2019 (année du dernier Sommet), soit 100.000 visiteurs. Élection présidentielle oblige, bon nombre des candidats à la course à l’Élysée viendront arpenter les allées de la Grande Halle pour séduire le vote agriculteur. Preuve que le sommet est bien devenu « The place to be » en trois décennies.