Fethi Benyoucef, responsable des ventes d’Elpack.
BM
Avec sa nouvelle ligne de pose produisant désormais à plein régime, le fabricant de cartes électroniques implanté à Valence voit son chiffre d’affaires progresser de 17 % en 2017 et mise sur sa complémentarité avec Pharel pour poursuivre sa croissance.
Après un important investissement dans une nouvelle ligne de pose de composants en 2016 et plusieurs recrutements, le fabricant de cartes électroniques Elpack profite depuis la fin du premier semestre 2017 de la totalité de ses nouvelles capacités de production.
Une amélioration de son process qui s’est immédiatement traduite par une hausse du chiffre d’affaires de 17 % sur un an, et de 57 % sur deux ans, celui-ci passant de 7 millions d’euros en 2015 à 9,6 en 2016 pour atteindre 11,3 millions d’euros en 2017.
« Nous connaissons une activité très dynamique depuis deux ans et ces investissements étaient indispensables pour nous permettre de satisfaire la demande croissante. Aujourd’hui, nous sommes à pleine puissance, et cette année, la tendance devrait se poursuivre, selon un rythme peut-être un peu moins rapide », estime Fethi Benyoucef, responsable des ventes d’Elpack.
De nouvelles prestations avec Pharel
« Notre stratégie consiste à proposer de nouvelles prestations permettant à nos clients de nous confier non seulement l’assemblage de leurs cartes électroniques mais également leur intégration et le montage du produit fini ». Elpack s’appuie pour y parvenir sur la deuxième entité du groupe, Pharel (chiffre d'affaires 2017 : 1,30 million d'euros), spécialisée dans les tests et l’intégration d’ensembles complets.
Les deux sociétés réunies, dirigées par Eric Pharaboz, emploient en tout soixante personnes. En 2018, de nouveaux investissements viendront accompagner le développement du groupe en vue de renforcer l’automatisation de la production et de la traçabilité via le développement d'un ERP.