Dans le cadre d’une levée de fonds participative, la start-up grenobloise Be Cause a séduit les membres du groupe d’électro-rock français, Shaka Ponk. Ces derniers remettront une guitare dédicacée à l’un des donateurs.

Fondée en 2023 par Pierre Moreau, Zoé Garnier et Thomas Berdy, Be Cause vise un double objectif : l’intégration de la mécanique de dons et de soutien aux associations au cœur des politiques RSE des entreprises ; et la transformation des collaborateurs en acteurs de la RSE, en leur permettant de soutenir des causes qui leur tiennent à cœur.

Pour ce faire, les fondateurs de Be Cause lancent une levée de fonds participative de 21 000 € sur Ulule. Un des donateurs se verra remettre une guitare dédicacée du groupe de rock alternatif français Shaka Ponk. Avec cette levée, l’objectif de Be Cause est d’accélérer son déploiement auprès des entreprises mais également de soutenir des associations (20 % du montant récolté leur sera reversé). La campagne prend fin le 1^er décembre 2024.

« Le Tinder de la bonne action »

C'est la mission de Be Cause qui consiste à aider les associations et le côté « Tinder de la bonne action » qui a plu à Frah, le chanteur de Shaka Ponk. Le reste du groupe a tout de suite été séduit par le principe. « La générosité du groupe, formalisée par le don d’une guitare dédicacée, est un beau clin d’œil à notre démarche », explique Zoé Garnier.

En effet, Shaka Ponk est un collectif particulièrement tourné vers les sujets environnementaux et d’égalité, qui a récemment annoncé la fin de ses tournées pour s’engager auprès des associations et des entreprises engagées dans la transition. Accompagner Be Cause leur permet de soutenir plusieurs associations en passant par un seul canal. « Nous comptons honorer cette confiance qui va dans le sens de notre ambition : permettre aux entreprises, qui, elles aussi, ont un fort potentiel, d'utiliser le mécénat pour transformer leurs opérations banales en véritables leviers d'impact et d'engagement, grâce à la richesse des sensibilités de leurs collaborateurs », conclut Pierre Moreau.