Le spécialiste de la livraison de colis GLS vient de présenter, sur son hub régional de Saint-Genis-Laval près de Lyon, les mesures qu’il propose à ses partenaires pour les accompagner dans leur transition énergétique.

General Logistic System (GLS) a initié, en 2020, un vaste programme de développement durable qui prévoit, en premier lieu, l’équipement des 70 agences qu’il compte sur le territoire français en bornes de recharge électrique : 60 % d’entre elles, d’ici la fin de cette année, et la totalité d’ici la fin 2022. Un budget d'un million d’euros a été engagé à cet effet. Cet équipement bénéficie directement à ses partenaires puisque ceux-ci peuvent y recharger gratuitement leurs véhicules. En Auvergne-Rhône-Alpes, dans ses huit agences, l’objectif est d’ores et déjà atteint en cette fin octobre puisque toutes en sont équipées.

Notre objectif est qu’en 2025, 50 % de nos véhicules roulent à l’électricité, au GNV ou à l’hydrogène

L’engagement environnemental de la société ne s’arrête pas là. GLS a aussi programmé le verdissement de sa flotte de véhicules. Celle-ci compte 3.500 véhicules, au total, dont 400 en Auvergne-Rhône-Alpes. « Notre objectif est qu’en 2025, 50 % de ces véhicules roulent à l’électricité, au GNV ou à l’hydrogène », prévoit Cyrille Bouquin-Nicolas, directeur du développement chez GLS France.

La flotte de services de GLS, qui compte 160 véhicules, suivra la même trajectoire. A Saint-Genis-Laval, GLS a présenté à 200 partenaires livreurs un accompagnement pour cette transition énergétique : « Grâce à une politique de volume, nous avons négocié auprès des principaux constructeurs une grille tarifaire avantageuse. Nous apportons conseils et accompagnement et pouvons leur proposer une période de test avant de s’engager dans l’achat », ajoute Cyrille Bouquin-Nicolas.

Une volumétrie en hausse de 30 % sur 18 mois

Présent dans 45 pays, GLS doit gérer une activité en très forte hausse en France : « En 18 mois, avec la crise sanitaire, la modification des comportements a provoqué une hausse de 30 % de la volumétrie traitée », observe Cyrille Bouquin-Nicolas.