Stéphane Mathieu, qui est aussi directeur général de Sigvaris France, a pris la présidence de Novéka.
Stéphane Mathieu a pris la présidence du Pôle des technologies médicales (PTM) de Saint-Étienne, renommé Novéka, qui s’installe dans le Quartier Créatif de Saint-Etienne.
Celui qui est aussi directeur général de Sigvaris France (Saint-Just-Saint-Rambert) a pris la succession, fin 2020, de Philippe Rusch (ex-enseignant-chercheur à l’Université Jean Monnet et praticien hospitalier au CHU de Saint-Étienne). Il explique : « Ce nouveau nom, Novéka, fait à la fois référence à l’innovation et à la déesse égyptienne de la magie et de la santé. » Parallèlement à son changement de nom et d’identité visuelle, l’ex-PTM annonce vouloir mobiliser les expertises et la richesse de l’écosystème local au service de l’innovation, de la transformation et du développement de la filière des dispositifs médicaux en Auvergne-Rhône-Alpes et, plus largement, de l’économie de la santé, à l’exception de la pharmacie et des biotechnologies. Stéphane Mathieu souhaite une organisation resserrée autour de domaines d’expertises qui serviront à catalyser les futurs projets innovants.
Novéka rassemble une cinquantaine de structures publiques et privées (entreprises, laboratoires de recherche, structures de soin, centres de formation…). Selon l’association créée en 1993, ces acteurs de la santé appartiennent à une filière régionale qui est la deuxième de France, regroupant entre 10 % et 30 % de l’ensemble des entreprises nationales du secteur des dispositifs médicaux.
Déménagement sur la Grande Usine Créative
Depuis le 8 mars, le cluster régional est installé dans La Grande Usine Créative du quartier Manufacture à Saint-Étienne. Roselyne Rousset, chargée de mission de longue date de l’association, vient d’être rejointe par Nathalie Cohet, responsable opérationnelle du développement et des partenariats de la structure. Elle était auparavant membre du pôle développement économique, dédiée au secteur de la santé au sein de l’accélérateur de transfert de technologies Pulsalys.
Cet article a été publié dans le numéro 2447 de Bref Eco.